Nous sommes tous des volontaires du 8e RPIMaEntends nos clameurs guerrière, nos chants de combatColonial parachutiste, viens, tu connaîtras le risqueAh, ah, ah, avec le 8e RPIMa (bis) Dans ce monde sans entrailles où l'on perd le nordNous livrons une bataille jamais vue encoreIl est dur d'être fidèle, mais SAINT MICHEL sous ses ailesAh, ah, ah, a pris le 8e RPIMa (bis) Nous voulons demeurer dignes de nos grands anciensHéritiers de tant de gloire, nos drapeaux sont lourds d'histoire Colonial parachutiste, viens, tu connaîtras le risqueAh, ah, ah, c'est ça le 8e RPIMa (bis) Nous avons foi en la France, en son avenirSes fils ont de la vaillance et savent souffrir,Et nous montrons nous-mêmes qu'on sait mourir quand on aime Ah, ah, ah, avec le 8e RPIMa (bis) Dans l'enfer de la bataille nous tombons du cielNos pépins dans la mitraille claquent au soleilLes sticks bondissent sans trêve pour l'assaut un chant s'élèveAh, ah, ah, celui du 8e RPIMa (bis). Nini peau d'chienOù ça ? F★ G7 . Les rêves bleus qui m'ont bercés,Ah ! Ohé ! Ma préférée reste quand de loin la Strasbourgeoise qui me colle les miquettes à chaque fois que je l'entend! en avant !Sur son cheminTout cède à l'instant même,Et le TroisièmeReste seul sabre en main.Bel AfricainIl s'admire, il se carre,Fumant son cigareSur un débris humain.Sans rien pillerLe chasseur fait la guerre,À tout préfèreSes armes et son coursier.Mais le vieux troupierA le cœur romanesqueL'œil de la MauresqueSeul peut le faire plier.Notre bras est fortNotre lame est fine,Bône et ConstantineS'en souviennent encore.Grâce à l'essorDe nos coursiers numides,Sous nos coups rapidesCelui qui tombe est mort.D'la Porte de ferEn franchissant l'obstacle,Un beau spectacleÀ nos yeux s'est offert :L'Atlas ouvertDevant notre bannièreLa France, la premièreA conquis le désert.Voilà le désert,La plaine immense et nue,Morte inconnue,La bizarre Smalah,La gazelle est là,Près du chacal à l'aise,Quand la MarseillaiseRetentit dans le désert. Glaive clair,Flots de sang vermeil !Mieux que bière ou vin de pommesMieux vaut vin gaulois !C'est le sang gaulois qui coule,C'est le sang gaulois !Sang et vin mêlés ruissèlentSang et vin gaulois !Chant du glaive bleu qui frappeChant du glaive roi ! Aue atu … Il est né sur les bords du Rhin,Alors frontière de la France,Ce Régiment au cœur d'airain,Dont nous célébrons la vaillance.Il nous légua de ses soldats,Ses exploits et ses fiers combats.Et nous sentons vibrer nos cœurs,En lisant les noms des victoires,Qu'un passé rayonnant de gloire,Inscrivit sur ses trois couleurs.Allons soldats du 152e,Dans nos labeurs,Portons bien haut les yeux.Vers la patrie et vers le fier emblème,Pour qui demain nous serons victorieux.Scandons nos pas au chocs des baïonnettes,Sans défaillir marchons allègrement.Et si la mort vient menacer nos têtes,Vive toujours notre beau Régiment.Quand aux reflets du soleil d'orLe Front des Vosges s'illumineLe Régiment prend son essorSur le flanc du roc il chemine.Il va le long des pins géantsDédaigneux des ravins béantsÀ son chef le soldat prometDe marcher toujours plein d'audaceCar c'est pour saluer l'Alsace,Qu'il faut grimper jusqu'au sommet.Au pied du clocher de Strasbourg,Nos anciens ont passé naguère.Quand vers Loano vers Harbourg,Le Régiment partait en guerre.Salut aux pays annexés,Dont le cœur reste bien Français,Si Dieu le veut nous bondirons,Pleins d'enthousiasme et d'espérancePour leur donner la délivranceAux accents mâles du clairon.Quand l'hiver vient au blanc frimas,La neige tombe qui nous cerne,Et prétend bloquer nos soldats,Au seuil des murs de la caserne.Mais pour braver le mauvais tempsNous avons nos cœurs de vingt ans.Nos sommes les gais voltigeurs,Toujours dehors à l'avant garde,Et la France qui nous regarde,Peut compter sur ses défenseurs. Sous un soleil d'occupationUn soldat rentre dans les rangsSous le rêve de cette nationIl va se battre loin devantDe Beaumholder à SaigonCroise le fer ennemi prend peurDe l'Indochine ou l'AlgérieCroise le fer ennemi ou meurtNi le nombre ni la mortN'arrêtera notre fantassinÀ la guerre il fut si fortQu'il put voir tous les matinsGénéreux et courageuxEn tant qu'homme il a léguéÀ ces hommes et dans leurs yeuxLa fierté de vivre en paixTous les hommes ont dans leurs cœursLe souvenir d'un meneurUn homme sans faiblesseAdjudant-Chef Rozes. (bis)Jeune officier, chevalier de l'honneurDressait son âme vers le feu de l'Orient,Et le triomphe et la croix du vainqueurPortaient plus haut un devoir plus brillant.Ce chef guide au combatLe fer des SAS. Dans la Coloniale il est une légendeGénéral Daboval sa vie est un exempleDans toutes ces campagnes sur un nom légionDe tous ces hommes il gagne d'abnégationsEt la Syrie pour lui à dix huit ans déjàLe grand départ vers les premiers combats.D'un officier à fait un séjour à ShangaïIl se lance au Djebel dans la batailleQuand s'abattent l'orage, la souffrance, la lutteAvec foi et courage il défend notre terreRefusant la défaite en 40, en FranceAu Niger il s'apprête à venger l'offenseAvec son bataillon il débarque en ProvenceSon sang coule à flots là il continueSes marsouins sont des lions avec rage ils s'élancentIls vont traquer l'ennemi jusqu'au DanubeAlors l'Indochine le verra bientôtDes rizières des collines repartir à l'assautDans l'enfer de Da Nang à chalong Lang sonIl contiendra le Viet trois mois durantL'histoire ouvre ses portes et Daboval y entreSes hommes fidèles le suivent dans la légendeHommes de cœur et d'honneur puissions-nous l'être aussiPuissions-nous voir nos vies si bien remplies. L'Europe se drape d'un voile funesteMais Raymond Dronne sur ses idéaux resteÀ l'aube d'une immense carrière d'officierPar l'excellence le jeune Sarthois s'est élevéTraversant la MéditerranéePour la Patrie au commencement de la guerreDepuis Douala il est des premiersÀ rallier la colonne LeclercL'audace de servirNous guide comme vousPour l'ensemble des français libresNous resterons deboutVamos con el CapitanCommandant Raymond DronneDans nos cœurs et nos âmesC'est l'honneur que l'on prôneDronne et ses hommes traversent le désertEt de leur feu purifient cet enfer.Ceux de Fezzan se rappellent toujours du braveCapitaine qui libéra cette enclaveLorsqu'une rafale fait jaillir son sangIl devient le héros de tout son régimentC'est le Capitaine de la « Nueve »Ses soldats lui sont dévoués !En Normandie, lors du débarquementLes balles ricochent sur ses chars vaillantsToute résistance s'efface sous ses chenilles,Pour le laisser passer et libérer Paris.À Écouché il' arrache la victoireÀ toute la nation il redonne l'espoirLe peuple célèbre sa bravoureCar il a délivré StrasbourgFranchissant le Rhin sans se retournerDronne et ses hommes poursuivent leur percéeRepoussant vaillamment les derniers ennemisJusqu'au nid d'aigle leur confiance n'a pas faibliDans la paix durement retrouvéeEn terre d'Indochine Dronne fut appeléLa guerre finie il retourne en FranceCélébrer la paix qui commence. Ils étaient deux amantsQui s'aimaient tendrementQui voulaient voyagerMais ne savaient commentAllons à MessinePécher la sardineAllons à LorientPêcher le harengQui voulaient voyagerMais ne savaient commentLe vît dit au conTu seras bâtimentLe vît dit au conTu seras bâtimentJe serais le grand mâtQue l'on plante dedansJe serais le grand mâtQue l'on plante dedansMon rouston de droiteSera commandantMon rouston de droiteSera commandantMon rouston de gaucheSera LieutenantMon rouston de gaucheSera LieutenantLes poils de mon culSeraient les haubansLes poils de mon culSeraient les haubansEt les morpionsGrimperons dedansEt les morpionsGrimperons dedansLa peau de mes couillesFera voile au ventLa peau de mes couillesFera voile au ventLe trou de mon culSoufflera dedansLe trou de mon culSoufflera dedansSacré nom de DieuÇa puera bougrement, Prés de la caserne, quand le jour s'enfuitLa vieille lanterne soudain s'allume et luitC'est dans ce coin là que le soirOn s'attendait remplit d'espoirTous deux Lili Marlène (bis)Et dans la nuit sombre, nos corps enlacésNe faisait qu'une ombre lorsque je t'embrassaisNous échangions ingénumentJoue contre joue, bien des sermentsTous deux Lili Marlène (bis)La vieille lanterne s'allume toujoursPrés de la caserne, quand s'enfuit le jourMais tout me semble étrangerAurais-je donc bien changéDis-moi Lili Marlène (bis)Cette tendre histoire, de nos cher vingt ansChante en nos mémoires, malgré les jours, les ansIl me semble entendre ta voixEt je te serre dans mes brasLili, Lili Marlène (bis), Oh la fille vient nous servir à boireLes soldats sont là, perce un tonneauCar la route et longue et la nuit noireEt demain nous montons à l'assautOh ! C'est le père Abraham's, et ses 7 fils,7 fils, et le père Abraham's, Tchoutchou !Il ne rit jamais, ne sourit jamais,Mais tous les jours il est comme ça !Et le bras gauche ! Nos pères les GauloisOnt dû en combats sanguinairesDéfendre la beauté, la liberté de notre terreNous jurons d'être forts et grandsPour sauver le pays des FrancsQue les héros d'antan soient devant Dieu témoins.Le Régiment d'Auvergne marche (bis)Au cœur de notre FranceExiste un pays de montagnesOù l'on entend encore les échos des grandes bataillesLa vie et la mort s'y côtoient encoreQuand nos armes sont sur le terrainS'il faut, ennemis, nous referons Gergovie.Dans la pluie, le vent, le soleil,Nous marchons vers la gloireNous apporterons à nos armes l'ivresse de la victoireQue ce chant soit une prièrePour les soldats de notre terreEt bientôt nos enfants chanteront dans nos rangs. Et le bras droit ! les carottes.Les carottes et les navets !Qui c'est qui s'les tape,Qui c'est qui s'les tape,C'est la Compagnie MontéeOh, Susanna, les carottes et les navets.Oh, Susanna ! Pour toi mon beau paysPour toi ma belle PatrieAux canons d'EsterhazyJe te donnerai ma vieTu seras ma force Tu seras ma foiEt j'en vaudrai plus d'un pour toi (bis)Devant tous tes ennemisJe combattrai sans répitPour la gloire d'EsterhazyJe te donnerai ma vieJe jure de bien te servirEt fier je saurais mourirAux Hussards d'EsterhazyJe te donnerai ma vieEt sans peur ni regretTombé au champ d'honneurJe reposerai sous tes couleurs (bis), Dans le vent, la pluie et l'orageChevaux de fer monstres d'aciers canons pointésMeilleur des chars toujours avec courageMarche au combat sous les rafales avec fiertéAu 501 soyons toujours fidèleDe la DB les cœurs plus valeureuxFaisant flotter cette devise belleNous resterons toujours fiers et heureuxPrends garde aussi devant sa lunetteUn jour tu passe il restera trois secondesPour qu'a jamais ta propre vie s'arrêteLe béret noir t'envoie dans l'autre mondeL'éternité te sera moins pénibleTu te diras ce n'est pas le hasardC'est sans retour si l'on devient la cibleDu 501 toujours premier des charsAu baroud après la bagarreSi tu reviens avant de partir au paysTête levée pense à ton étendardCar son serment d'Afrique n'a plus jamais trahiPense à celui qui reste sur la pisteDans la fournaise le cœur dans sa tourelleS'en est allé la haut vers les tankistesPour que la vie soit ici moins cruelle. (bis)Luttaient toujours les ailes et l'ancre d'or,Offrant leur gloire au pays, à l'armée ;Les rives rouges se rappellent encoreLes Combattants pour la France à jamais.Ce chef guide au combatNos sabres et nos cœurs. Rechercher ... Télécharger le PDF (1014,42 KB) Avis . Si j'ai oublié des chants ou si par hasard il y a quelques erreurs, dites le moi. C'est Jean-François de NantesOué, oué, oué.Gabier de la Fringante.Oh ! La Patrie t'appelle.Soldats ! oh !C'est à boire, à boire, à boire,C'est à boire qu'il nous faut !On entra dans une aubergePour y boir' du vin nouveau.Chacun fouilla dans sa pocheQuand il fallut payer l' pot, oh !Chacun fouilla dans sa pocheQuand il fallut payer l' pot,Le plus riche fouill' dans la sienneEt n'y trouva qu'un écu faux, oh !Le plus riche fouill' dans la sienneEt n'y trouva qu'un écu faux.Sacré bleu dit la patronneQu'on leur prenne leurs shakos, oh !Sacré bleu dit la patronneQu'on leur prenne leurs shakos.Nom de Dieu, dit la patronne,Leurs capot's, leurs godillots, oh !Nom de Dieu, dit la patronne,Leurs capot's, leurs godillots.Quand ils furent en liquetteIls montèr'nt sur les tonneaux, oh ! Vous voulez que FBI mette une sous rubrique troupes de marine dans l’ADT avec les chants qui lui corresponde faites le mais avec correction. Oh ! Et le bras droit ! 4. Et la teub ! Hourra ! "Ce soir,Dans la lumière, de nouveau parmi nous,Dix mille Anciens nous adoubent à genoux.Saint-Cyr ! gerard57 Titre de livre: Carnet de chants Il est vivant ! A toi de tester et voir si c'est acceptable. :) !Et le pied gauche !! Que l'aube est triste au vieux haleurSous la bise qui lui fend le cœurLa corde crisse, les eaux gémissentBarques au front pesantGlissent dans le vent.Hole tire, marche tireLa corde t'usera les mains et les brasHolà tire, marche tireDe l'aube jusqu'au soir, tire sans espoirAh ! Honneur, patrie, drapeau sous le feuToi, jeune capitaine, fougueux et généreux,Étoile gardant de la mort des chasseursDans cette montagne chérie où ton unique vœuD'emporter la victoire ravive nos mémoiresTournées vers un même espoir.Arborant nos Casos, célébrons ce hérosPour qui droiture, honneur en nobles idéauxFurent les vertus qui tracèrent son chemin de valeureux Saint-Cyrien.Général Lalande, puisses-tu apposer sur nos fronts éclairésLes flammes de ton incroyable destinée.Portés par le souffle du désert,Ta foi, ton courage transcendèrent la peurEt toujours rassemblèrent tes légionnairesSous une même bannière: fidélité et honneur.France, souviens-toi de l'Officier né pour te veiller,Souffrant pour te libérer.L'Orient, la terre d'un amour profond,Te vit dernier défenseur de ses prénoms.Cette épreuve n'entama pas ton courage;Ta lutte dans le djebel fut le meilleur hommageD'une vie emprunte de force et d'humilitéSymboles de ton épopée. l’infini (×2) G7 . adieu ! Au pied d'une vigneJe naquis un jour,D'une mère digneDe tous mes amours.Depuis ma naissanceElle m'a nourriEn reconnaissanceMoi je la chéris.Joyeux enfants de la BourgogneJe n'ai jamais eu de guignon,Quand je vois rougir ma trogneJe suis fier d'être bourguignon.Assis sous la treillePlus heureux qu'un roi,Toujours ma bouteilleÀ côté de moi.Jamais je m'embrouilleCar chaque matinJe me débarbouilleDans un verre de vin.Madère et ChampagneApprochez un peu,Et vous, vins d'Espagne,Malgré votre feu,Le jus de l'ivrogneRéclame ses droits,Devant la BourgogneSaluez trois fois. | (bis)En l'an 2000, quittant MontélimarDes Transmetteurs rejoignirent IssoireVaillants soldats au passé magnifique |De Tunisie, d'Algérie et d'Afrique. Tu t'engages pour servir la patrieAu Soixante-quatrième d'ArtilleriePour le Maroc tu t'es embarquéTon énergie force le respect.Honneur et dévouement (bis)Ainsi était l'adjudant LE MARCHAND.En Indochine sous le feu de l'ennemiTu combats fièrement de tous côtésTon arme s'enraye mais tu ne faiblis.Bravoure et dévouement (bis)Ainsi était l'Adjudant LE MARCHAND.Puis en 57 en AlgérieTu montres ta générositéAidant les tiens dans le repliTu es mortellement frappé.Fidèle et homme de cran (bis)Ainsi était l'Adjudant LE MARCHAND.Combattant modèle et valeureuxFièrement nous poursuivrons tes pasEt dans les moments douloureuxTa mémoire nous fortifiera.Modeste et triomphant (bis)Aini était l'Adjudant LE MARCHAND. À peine créé déjà tu t'illustraisEn campagne, en Russie, glorieuse épopéeSans jamais reculer tu as tout sacrifiéProtégeant sans compter l'Empereur et son arméeBison du 126 soyons fiers et vaillantsComme nos anciens allons toujours de l'avantBison du 126 soyons fiers et vaillantsComme nos anciens allons toujours de l'avantÀ Auberive nos anciens se battaientPour offrir la paix à une France libéréeAprès humilié dans un pays meurtriOnt résisté fièrement par amour de la patrieTu luttas au Liban combattirent en BosnieLa paix difficile à obtenir en AfriqueTes blessés furent le prix du sang à payerPour permettre à ces pays de vivre en harmonie. Honneur au Général DelayenLe soleil brille sur l'empire de FranceLe soleil brille de toute espéranceDu sol africain jusqu'au TonkinJeunesse élevée par cet espritD'homme dévoué à sa patrieComme votre père jadis officierAdmirant ceux qui servent par l'épéeAu loin se dessine votre destinGénéral DelayenLa promotion choisit votre nomGuidez nous sur les cheminsPour que France ne soit jamais vainGénéral DelayenPar l'éclat de tous vos combatsÉclairez l'acier de nos sabresGloire et fierté officier de FranceDans la tourmente d'un pays blesséDans la tourmente d'un pays briséVous quittez les bancs du PrytanéeVous éloignant de votre foyerJeunesse vouée à la libertéSous l'ancre d'or bravant les dangersVous combattez comme simple soldatEnfin adoubé à MediounaLa Terre de vos pères attend sa gloireLa Terre de vos pères attend sa victoireDe l'assaut en Provence à l'AlsaceValeureux lieutenant faisant faceVous chassez l'ennemi jusqu'au RhinLibérant avec vos fiers marsouinsDrapeaux et clochers sonnent la VictoireMalgré cette balle que vous recevezAux confins de l'empire menacéAux confins de l'empire à sauverBouclier contre l'épée VietminhVos commandos leurs brisent l'échineJeune officier pleinement dévouéGuidant vos hommes vous êtes touchéInvesti par le sens du devoirLes nuits d'Indochine révèlent vos gloiresDes rizières au Djebel embraséDes rizières au Djebel déchiréMarsouin de choc tant de fois décoréVous rassurez vos braves guerriersEn avant valeureux YataganSerre les dents, commando, en avant !Défiant la mort avec insolencePour défendre les couleurs de la FranceGénéral et toujours chef de guerreSoldat traversant les quatre guerresBaroudeur affirmé, vous gagnezLa douceur d'une paix tant méritéeVous reposez maintenant dans le VarOù vos compagnons gardent la mémoireD'une vie consacrée à la FranceSoyons fier de ce nom légendaire. Loin vers l'infini s'étendentDe grands prés marécageuxEt là-bas nul oiseau ne chanteSur les arbres secs et creuxÔ terre de détresse !Où nous devons sans cessePiocher, piocher, piocher !Dans ce camps morne et sauvageEntouré de mur de ferIl nous semble vivre en cageAu milieu d'un grand désertBruit des pas et bruit des armesSentinelles jour et nuitEt du sang, et des cris, des larmesLa mort pour celui qui fuitMais un jour dans notre vieLe printemps refleuriraLiberté, liberté chérieJe dirais tu es à moiÔ terre d'allégresse !Où nous pourrons sans cesseAimer, aimer, aimer ! !C'est le père Abraham's, et ses 7 fils,7 fils, et le père Abraham's, Tchoutchou !Il ne rit jamais, ne sourit jamais,Mais tous les jours il est comme ça !Et le bras gauche !! Source de sagesse, Esprit de Dieu, puits de la tendresse, Esprit de Dieu, source pour ton peuple, Esprit de Dieu, coule en nos demeures, Esprit de Dieu. Spahis et légionnaires, tirailleurs marocains,Fiers kabyles servant nos unités d'élite,Troupes amalgamées qu'une foi pure habite,Vous étiez au combat les glorieux Africains.Vous alliez fièrementMontrant votre vaillanceSur tous les continentsA l'appel de la France.Le Tchad, le Sénégal, l'Atlas d'un blanc cendréTremblent toujours le soir de vos échos tenaces.Vous avez en tout lieu imprimé votre trace,Vos feux, votre lumière et vos rythmes guerriers.Et quand fut bousculée l'armée du continent,Quand l'ennemi moqueur occupait la Patrie,Dans un élan vainqueur, se dressant d'AlgérieL'armée qui a surgit a tenu son serment.Vous vivez dans nos chants, vous vivez dans nos cœursEt aujourd'hui encore votre légende épiqueNous appelle a servir en soldats héroïques,Que notre régiment vous suive avec ardeur. !Et le pied gauche !! (bis)Vous avez eu l'Alsace et la LorraineVous avez eu des millions d'étrangersVous avez eu Germanie et BohèmeMais mon petit cœur vous ne l'aurez jamaisMais mon petit cœur lui restera français ! Heureux ceux qui sont mortsPour la terre charnelle.Mais pourvu que ce futDans une juste guerre.Heureux ceux qui sont mortsPour quatre coins de terre.Heureux ceux qui sont mortsD'une mort solennelle.Heureux ceux qui sont mortsDans les grandes batailles.Couchés dessus le sol,À la face de Dieu.Heureux ceux qui sont mortsDans un dernier haut lieuParmi tout l'appareilDes grandes funérailles.Heureux ceux qui sont mortsCar ils sont retournésDans la première argileEt la première terre.Heureux ceux qui sont mortsDans une juste guerreHeureux les épis mûrsEt les blés moissonnés. Là où nous veut la France,Gardons le ciel immense,Fleuron de la sol-air,Compagnons d'arme, mes frères.Régiment, aujourd'hui,Au service du pays,Là où le risque grondeTu vas de par le monde.402 d'artillerieTon refrain nous rallieNous sommes toujours prêtsÀ délivrer tes feuxSur qui venant des cieux,Menacerait la paix,Menacerait la paix.Au Tchad, ce fait de guerre,Dont tes enfants sont fiers,A marqué le départD'une nouvelle gloire.Nous descendons le fleuveDe Guyane, au couchant.Qu'il vent ou bien qu'il pleuve,Nous sommes toujours devant.Quant j'observe le soir,L'immensité du cielDjiboutien, l'Étendard,Et ton renom se mêlentPour me donner courage,Rappeler mes anciens,Qui ont écrit ces pagesD'un livre aujourd'hui mien.C'est pour toi, régiment,Que soldat de métier,Je sers tout lieu, tout temps,Pour toi et les français.Je sers en Martinique,des Balkans en Afrique :Sur tous les continentsNuit et jour, EN AVANT ! Engagés dans un pays lointain,Pour de grands desseins.Tombés comme vos anciens,Sacrifiant vos vies, bravement et sans plaintesTombés sans faillir, fidèles et sans craintes.Prêts à servir,Prêts à mourir.De tous les régiments,Pleins d'espoir et d'allant.Vous êtes partis là-bas,Beaucoup ne reviendront pas.Nous honorons ce soir la gloire de ces soldats,Restés braves dans les combats.Au nom de votre gloire éternelle,Ce chant monte tel vos âmes immortelles.Valeureux combattants, ayant versé leur sang.La promotion est fière, de ceux d'Afghanistan.Valeureux combattants, ayant versé leur sang.La promotion est fière, de ceux d'Afghanistan.Jeunes officiers rassemblés ce soir,En votre mémoire.Nous chantons votre gloire,Témoignant ainsi notre reconnaissance,Pour vos sacrifices au service de la France.Humbles héritiers,De nos aînés.Nous suivrons votre exemple,Au feu, dans la tourmente.Porterons votre nom,Avec admiration.La promotion s'incline devant vos cercueils,Un drapeau en guise de linceul. tu regretteras un jourD'avoir dédaigné mon amour, Par les monts et par les plainesS'en allaient deux compagnonsIls chantaient à perdre haleine |(bis)Trouvant qu' la vie à du bon |L'un jouait de la guitareL'autre ne jouait de rienDans ce métier il est rare | (bis)De manger quand on a faim |Un soir d'été arrivèrentPrés d'une vieille maisonDevant la porte trouvèrent | (bis)Une dame au corps mignon |"Hé ! | (bis)Nos anciens ont su mourir.Pour la gloire de la Légion.Nous saurons bien tous périrSuivant la tradition.Au cours de nos campagnes lointaines,Affrontant la fièvre et le feu,Oublions avec nos peines,La mort qui nous oublie si peu.Tiens, voilà du boudin, voilà du boudin, voilà du boudinPour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains,Pour les Belges, y en a plus, Pour les Belges, y en a plus, |Ce sont des tireurs au cul. | (bis). in Actualité sur les Forces de Sécurité, March 18 Ici, vous pouvez télécharger gratuitement tous les livres au format PDF ou Epub. }bisEt si demain la Patrie nous appelle,Nous partirons remplis de ton ardeur,Tressaille l'ennemi et sonne le rappel,Saint Gabriel, et nous serons vainqueurs. BAN DE LA FUSEE 5-4-3-2-1-0 (partir debout et s’accroupir) Pz, Pz, PZ BOUM ! Ah ! Du Tonkin à la GuyaneDe Hanoi à l'île CayenneSur les jonques du fleuve rougeAux pirogues du Maroni.L'ancre d'or du chiffre neufEn terre amazonienneDe trijonction à borne sixL'enfer vert du marsouin.Sur la piste de nos anciensAujourd'hui nous avançonsNous sommes fiers de servirAu neuvième de Marine.L'ancre d'or du chiffre neufEn terre amazonienneDe trijonction à borne sixL'enfer vert du marsouin.Nou rivé la GuyanePou nou fé service en nouNou tapé difficultéCé marsouin la en nou allé. Déjà animé de tant de force,Vous cherchez l'action à la Légion ;Loin de la douceur de votre foyerVous êtes envoyés pour Narvik.Vos premiers combats, première blessureDévoilent un soldat aux qualités sûres.Au cœur des tourments, guidez nos pas, ravivez en nous,Capitaine Flores, la flamme et l'ardeur pour la Patrie,Gardez-nous de nos faiblesses, à votre image nous voulons servir !Ardant combattant dès que possibleRejoignez les Forces Françaises Libres ;Promu Sergent partant pour l'Afrique,À Bir-Hakeim vous servez Kœnig.De nouveau blessé et fait prisonnierVous vivez un an de captivité.Officier chez les paras coloniauxVous marquez vos soldats en Indo ;Ardeur, bravoure et mépris de la peurVous valent la Légion d'Honneur.Toujours victorieux, en grand chef de guerre,Vos nombreux exploits deviennent légendaires.Au 3 vous formez votre compagnieAvant de partir pour l'Algérie ;Bir-Hakeim, vos Léopards excellentEt sans répit vous traquez les fells.Chef de commandos, maintes fois cité,Redoublant encore d'agressivité.Baroudeur confirmé, vous retrouvezLa douceur d'une femme tant aimée.Avec le sourire vous avez lutté, auprès des vôtres enfin reposez.Para exemplaire, superbe officier,Notre promotion veut vous honorer, Aux heures sombres du pays qu'on a briséAux heures sombres du pays qu'il faut sauverTu t'engages intrépides soldatLa résistance guide tes pasCiel funèbre enveloppe ces joursQue la mort accompagne toujoursPour ta patrie ton sang a couleTa jeunesse fut sacrifiéeColonel du Puy-MontbrunSans peur et sans reprocheÀ jamais notre parrainOutstanding soldierVotre esprit porte la flammeToujours l'honneur pour iciDe vos combats innombrablesGo paratrooper !Officier servant la FranceÀ 18 ans soldatNous formons allianceEn votre nomFière promotionLa guerre frappe ton destin, ta volontéLa guerre frappe ton destin et ta fiertéCommando de sa MajestéTu luttas pour la libertéDéchirement d'une voile d'azurLa peur résonne comme un murmureChère France toutes tes rues vibrentTes couleurs sont libresDu levant au désert rien d'impossibleDu levant au désert tu sembles invincibleFeu et choc résonne sous tes pallesMais jamais épargne des ballesEntendez-vous au loin les combatsQui embrasent l'air sec et purFort chevalier d'acier sous le ventPour nous toujours en avantSoldat de feu tu peux enfin dormirSoldat de feu gardant ton souvenirVotre sacrifice le plus beauUn drapeau sur votre tombeauVos yeux sombres se sont refermesUne histoire pour l'éternitéHumblement nous vous le demandonsGuidez notre promotion. L'intégralité du carnet de chants Il est vivant ! "Et l'on entre sous le bois.À la première décharge,Le Clairon sonnant la chargeTombe frappé sans recours;Mais, par un effort suprême,Menant le combat quand même,Le Clairon sonne toujours.Il est là, couché sur l'herbe,Dédaignant, blessé superbe,Tout espoir et tout secours;Et sur sa lèvre sanglante,Gardant sa trompette ardente,Il sonne, il sonne toujours.Mais sa main qui le refoule,Suspend un instant la mort,Et de sa note affolée,Précipitant la mêlée,Le vieux clairon sonne encore.Puis, dans la forêt pressée,Voyant la charge lancée,Et les Zouaves bondir,Alors le Clairon s'arrête,Sa dernière tâche est faite :Il achève de mourir. En avant fière ColonialePorte toujours au feu les trois couleursEn France et sous la zone tropicaleSois vainqueur, aies du cœur,Sois sans reproche et sans peur.La joie pour toi, c'est la grande bataille.Du Maroc au Tonkin,On a vu nos marsouinsBraver la mort et la mitraille(Avec aux lèvres un gai refrain). (bis)Pour moi ne chante guère,Car j'en ai un joli.Pour moi ne chante guère,Car j'en ai un joli, (bis)Mais dites-moi donc belleOù est votre mari ?Mais dites-moi donc belle,Où est votre mari ? Ton père avait vaincu fort de sa foi, de sa vaillance.Et toi même en quarante, refuses de te résignerTu viens d'Afrique ou de France pour rejoindre les Cadets,Tu as toujours de l'espoir dans le salut de la France.À notre Promotion"Dieu donne le courage et la force et la foi"Pour partir demain au combat,Car nous voulons vivre et lutter à votre imageVous, Cadets de Cherchell, nos aînés de l'EMIA.À Cherchell-Mediouna, l'EMIA va te former.Et tu en sortiras parmi les cinq mille officiersQui, au mépris du danger, sont prêts à sacrifier leur vie,Dans les farouches batailles, pour sauver notre patrie.Avec l'Armée d'Afrique, en France tu vas débarquer,Tu te bats sans compter, à la tête de tes soldatsEt du Belvédère au Rhin, couvert de gloire tu es là.Mais bientôt vont dans l'honneur, tomber les premiers Cadets.Cette guerre finie, sur d'autres fronts, tu vas servir,Tu verseras ton sang en Indochine, en Algérie,Et les Cadets de Cherchell sont la fierté de la PatrieQui aujourd'hui, par nos voix, honore ton souvenir.À tous, morts et vivants, la Promotion rend cet hommageNourris de votre exemple et confiants dans notre avenirVotre courage au combat saura demain nous soutenirOui, nous voulons toujours vivre et lutter à votre image.
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