Les bâtiments détruits devraient être remplacés par d'autres bâtiments reconstruits à Planoise, mais également dans d'autres quartiers de la ville, la municipalité encourageant la dispersion de la population sur l'ensemble de la ville pour éviter de nouveau une situation de promiscuité au sein du quartier. Le collège Diderot ainsi que le lycée Victor Hugo forment les établissements les plus importants du quartier, tant au point de vue historique qu'au niveau des effectifs. Définition des quartiers sensibles : Niveau 1 : QSN (QUARTIERS SENSIBLES DE NON-DROIT) Quartiers où règnent les bandes et la délinquance avec des faits de violences urbaines, fusillades ou règlements de comptes et trafic en tout genre. La faune sauvage de Planoise, bien que rare, concentre quelques espèces animales typiques des grands espaces urbains. Les premières traces de vie durable sur place remontent au Moyen Âge, période de faible démographie champêtre et agricole qui perdurera jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. Jadis, du lierre grimpant recouvrait une des faces du vieux bâtiment et des logements de fonction, mais ce dernier fut arraché, de même pour les marronniers centenaires de l’exploitation qui survécurent jusqu'en 2001[102]. Le boulevard ouest, qui est un prolongement « intra-muros » de la RN 273, traverse Planoise à l'est, et relie le quartier à celui de Velotte, ainsi qu'au centre-ville via le quartier de Tarragnoz[8]. On décide alors de passer à un urbanisme de ZUP (barres HLM démesurées, peu ou pas de recherche architecturale) à une ZAC (immeubles de petite taille, harmonisation du paysage, liaisons routières plus pratiques, aménagement de commerces et services...). Présentation des 30 Quartiers de la région Grand Est les plus touchés par la criminalité. La vie du quartier sensible de Planoise à Besançon a été rythmée entre novembre et mars derniers par des affrontements armés entre bandes rivales, sur fond de trafic de drogue. L'épreuve du « Cross » annuel, consistant à faire une course d’endurance à pieds dans l’enceinte du collège, a lieu tous les ans, considérer aujourd'hui comme une grande tradition de l'établissement[102]. Situé au sud-ouest de la ville, il est au cœur d’un site de 3,5 km² ceinturé par quatre forêts (Planoise, Monsieur, Franois, et Pirey) et deux collines (Planoise et Rosemont), à environ 2 km du Doubs et 3,5 km du centre-ville. À la fin de l'année 1962, les travaux d'aménagement commencent. Le taux de chômage de la population active atteignait 25 %, et 40 % chez les jeunes de 18-25 ans en 1999[60]. La proximité du quartier avec le secteur de Châteaufarine est un atout majeur pour Planoise. Le quartier, qui devait comporter pas moins de cinq églises dans les années 1980, n'en comporte finalement que deux aujourd'hui : l'église Saint-François-d'Assise, construite sur les plans de Maurice Novarina et ouverte en 1972, est située place Jean-Moulin dans le secteur des Époisses et comporte une fresque de 33 000 éléments créée par l'artiste Pascutto[97]. Le procureur de Besançon et le Préfet du Doubs écoutent les explications sur l'opération menée le 9 septembre à Planoise qui a mobilisé 40 fonctionnaires de police ©YQ. Le parc est situé au sud du quartier (à Cassin) et devrait être prochainement réaménagé (investissement de 1,5 million d'euros[115]) et accueillir un terrain de loisirs. Une vaste opération policière était en cours lundi matin dans le quartier sensible de Planoise à Besançon dans le cadre d’une enquête sur les fusillades liées au trafic de drogue qui le secouent depuis des mois, a-t-on appris de source policière. Près de 200 policiers, dont des colonnes d’assaut du Raid, sont mobilisés ce lundi 15 juin dans le quartier sensible de Planoise à Besançon. Une autre hypothèse est avancée : le nom proviendrait de bois de planes, c'est-à-dire bois de platanes ; il y avait effectivement autrefois un grand nombre de ces arbres[15]. L'établissement comporte un CDI, une association sportive ainsi qu'un gymnase annexe, le gymnase de Châteaufarine[110],[111]. Des marchands de kebabs viennent quotidiennement aux Époisses et à Île-de-France. Le patrimoine du quartier est peu présent ou souvent pas mis en valeur. La totalité des terrains sont maintenant acquis par la ville de Besançon, achetés pour un total de 7 160 886 francs et cédés à la SEDD (société d'équipement du département du Doubs) en 1964, chargée de viabiliser le site avant de le laisser aux promoteurs[34]. J.-C. environ. Divers autres évènements, comme les feux d'artifice de Planoise, qui ont lieu conjointement avec ceux du centre-ville lors du 1er janvier et/ou du 14 juillet. Comme dans beaucoup d'autres zones urbaines, les graffitis font partie du quotidien. Il est limitrophe des Tilleroyes, de Saint-Ferjeux, et de Velotte au nord et à l’est, ainsi que des communes d'Avanne-Aveney, Grandfontaine-la Belle Étoile, et Franois au sud et à l’ouest. Et à partir de 1977, plus de 50 zones urbaines sont réhabilitées. J.-C.) ainsi qu'une lampe à huile et une burette toutes deux en terre cuite datant probablement de l'Époque hellénistique (entre le IVe et le Ier siècle av. Planoise est également limitrophe de la commune d'Avanne-Aveney au sud, et situé à proximité de la commune de Beure au sud-est, ainsi que des communes de Serre-les-Sapins et de Pirey au nord-ouest. Le passage de chasseurs-cueilleurs remontant à 50 000 ans, durant la période du paléolithique moyen, a été attestée sur le site de Besançon. L'église Saint-François-d'Assise est érigée en 1972 et la mosquée Al-Fath seulement en 2007. Radmo, un chanteur de rap reconnu dans le département. Pourtant elle dénombre des atouts majeurs, avec un parc immobilier de plus de 8 000 appartements représentant 14 % des logements locaux, trois centres commerciaux et des zones franches réunissant une partie notable des entreprises bisontines du secondaire et tertiaire, ou encore un fort taux d’infrastructures publiques et sièges divers notamment dans l’enseignement, le sport, et la culture. Planoise, malgré son « hyper-urbanisation » a su conserver une grande partie d'espaces boisés : à chaque coin de rue, il y a des arbres ou des buissons (essentiellement des sapins, des hêtres, des marronniers ou des bouleaux) ainsi qu'un grand nombre de parcs et de petits espaces verts. Le drame a eu lieu dans le quartier sensible de Planoise à Besançon. Bien que le centre-ville comporte la quasi-totalité des bâtiments administratifs de la ville, le quartier de Planoise est doté de quelques bâtiments d'une importance départementale et régionale, tels que les archives départementales du Doubs, situées à Cassin[63], le centre hospitalier régional et universitaire Jean-Minjoz[64] ou encore la polyclinique de Franche-Comté, avec sa maternité et ses divers services pédiatriques[65]. De cette époque parviennent certains renseignements : Planoise était une vaste forêt (comparable à la Forêt de Chailluz). À la fin du XVIIe siècle, une décharge est aménagée dans l'actuel secteur de Cassin (nommé à l'époque « Cornandouille »). la ville y subit une lourde défaite et y perdit un grand nombre d'hommes ; les Bisontins, qui en gardèrent longtemps le souvenir, surnommèrent cet endroit la « combe du malheur »[11], qui à l'usage devint « Malcombe ». Le secteur des Hauts-du-Chazal est situé au nord de Planoise. La main d'œuvre est très demandée lors de l'urbanisation de la ville, où des quartiers comme Planoise, les 408, les Clairs-Soleils, Palente-Orchamps ou encore Montrapon-Fontaine-Écu sont construits[119]. Une autre maison de quartier existe, il s'agit de la maison de quartier municipale de Planoise, située avenue de Bourgogne, mais dont le rôle est plus secondaire que la première. Les quartiers de Clairs-Soleils, Montrapon-Fontaine-Écu et le secteur des Orchamps sont déjà en cours d'aménagement, mais la morphologie du terrain ne permet pas la construction, nécessaire, d'une large ZUP. Afin de pallier ces fléaux, plusieurs solutions ont été proposées par les personnalités politiques. Le quartier de Planoise, comme de nombreux autres secteurs extérieurs à La Boucle, ne fut pas la scène de nombreux tournages de films, le sujet de chansons célèbres ou de livres signés de grands auteurs. Le sport occupe une place significative dans le loisir des Planoisiens. Il est traversé par trois failles décrochantes dans un sens nord-sud[3]. L'établissement propose des enseignements tels que le commerce, la gestion, l'informatique, l'accueil ou encore la vente. Il fut construit à l'emplacement d'une ferme dite la « ferme Roy » et dont les bâtiments qui subsistèrent jusqu'en 2000 servirent un temps de lieu de culte chrétien. Répartition des emplois par domaines d'activité. C'est actuellement, avec environ 7 000 habitants, soit plus du tiers de la population totale de Planoise, le secteur le plus peuplé du quartier. L’influence de ces populations joue également un rôle dans l'aspect culturel, linguistique, artistique et cultuel du quartier. Il avait pour but d'interdire les routes de Dijon et de Lyon, ainsi que la voie ferrée de Dole-Dijon. Il faut attendre le 27 janvier 1965 à 11h30 pour que le premier sillon soit tracé au bulldozer et que les travaux débutent enfin[36]. La Foire comtoise, le salon des microtechniques Micronora, le salon du tuning... mais aussi une grande partie des concerts de la ville y ont lieu en alternative avec le Cylindre, à Larnod. Il est dominé par la Colline de Planoise (490 m) au sud, et par la Colline de Rosemont (466 m) au nord-est[8]. Il servait à l'époque aux agriculteurs qui, jadis, peuplaient le site de Planoise. Ce secteur est plus récent que les deux précédents, il est en outre reconnu comme quartier à part entière depuis 1985. Geneviève Charles-Lyet, Jacques Fontaine, Serge Ormaux, Église Saint-François-d'Assise (Besançon), musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon, Plan du projet de Planoise, 1965, archives SEDD, centre hospitalier régional et universitaire Jean-Minjoz, maison de quartier-médiathèque Nelson-Mandela, Généralités sur la géographie du Doubs, site de la DREAL de Franche-Comté, Carte sismique de la France sur le site officiel de l'Académie de Besançon, La sismicité à Besançon, d'après une étude de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, Données sur le climat de Besançon sur le site de l’Internaute, Carte officielle de la Zone Urbaine Sensible de Planoise, Le lavoir de Planoise sur Planoise-reflexions.fr, L'histoire de Châteaufarine sur La-passerelle.fr, Vidéo des premiers habitants de Planoise sur le site de l'INA, Dénomination de voie : le square Salah Gaham sur Besancon.fr, L'agression de policiers à Planoise sur Ma-commune.info, L'agression de plusieurs policiers le 17 septembre 2009, place Cassin sur Besac.com, Lepoint.fr : braquage d'un bus à Planoise, Les Hauts-de-Chazal et gare de Planoise sur Planoise-reflexions.fr, Site officiel du centre commercial de Châteaufarine, Les marchés et foires de Besançon sur le site officiel de la ville, L'antenne régionale de l'Insee sur le site officiel, Fiche détaillée de la chaufferie de Bois de Planoise et du quartier, La chaufferie de bois de Besançon-Planoise sur le site de l'ADEME, Chaufferie de bois sur Planoise-reflexions.fr, Résultat des cantonales de 2008 du canton de Besançon-Planoise sur 20minutes.fr, Résultats du premier tour des cantonales de 2009 du canton de Besançon-Planoise sur le Journal-du-Dimanche.fr, Site officiel des Archives départementales du Doubs, La liste des hôpitaux et centres de soins de Besançon sur le site officiel de la ville, La fourrière véhicules de Besançon sur le site officiel de la ville, La crèche des Époisses sur le site officiel de la ville de Besançon, La crèche de Cassin sur le site officiel de la ville de Besançon, La crèche d'Île-de-France sur le site officiel de la ville de Besançon, Planoise: Fousseret dénonce « une poignée de véritables fous furieux du guidon » sur MaCommune.info, Bilal : Michel Omouri (UMP) veut des caméras à Planoise, sur MaCommune.info, L'affaire des scooters sur le site officiel de Barbara Romagan, De nouveaux abribus pour Planoise ? D'imposantes tours, comme la tour de Planoise (18 étages, environ 40 mètres)[78], la tour Miramas (17 étages, environ 30 mètres)[79], la tour des Causses (14 étages, environ 25 mètres) ou encore la tour d'Île-de-France (14 étages, environ 25 mètres) constituent les plus hauts édifices de la région. La ville comptait en 2008 au total 235 policiers (ADS compris) qui résolvaient en moyenne 14.5 affaires par personne, ce qui place la ville parmi les 25 meilleurs sur plus de 400[76]. Le Doubs passe à environ 1 km au sud[8]. Planoise comptait 20 700 habitants environ au recensement de 1999[60] ce qui la placerait au troisième rang départemental et au quatrième rang régional en tant que ville après Besançon (117 080 habitants), Belfort (50 863 habitants) et Montbéliard (26 535 habitants). Le secteur de Cassin est situé au sud de Planoise. L'avenue François-Mitterrand relie le quartier au centre-ville via le quartier de la Grette-Butte[8]. Il fut créé en 1985 et paraît 4 fois par an grâce aux dons des Planoisiens et des Bisontins[81]. Le quartier de Planoise devient donc un secteur multi-ethnique, et même si les Maghrébins représentent la majeure partie des immigrés, on note également la présence d'une population originaire d'Europe de l'Est, d'Afrique subsaharienne ainsi que d'Asie. René Bévalot, 1995 - page 9, Une véritable petite ville au sein de Besançon : Planoise, Alain Gagnieux - page 31, Planoise, vous connaissez ? La SEDD présente alors les résultats d'une étude sur les premiers Planoisiens : 82,6 % sont âgés de moins de 35 ans, 90 % des habitants sont français et les deux tiers des ménages étrangers sont européens, et plus de 55 % des habitants du quartier sont originaires de Besançon, un peu plus d'un tiers sont originaires d'autres villes et seulement 9 % d'origine rurale[38].
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